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Channel: bobigny – STOP Islamisme !
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Bobigny (93) : l’agence Pôle emploi fermée après une fusillade

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Les plus matinaux des agents de Pôle emploi ont eu un choc ce jeudi matin à Bobigny. En ouvrant la porte de leurs bureaux, situés rue Myriam-Makeba, ils ont constaté que les vitres de l’espace cuisine portaient plusieurs impacts de balles. L’immeuble abritant l’agence présentait également les traces de tirs. « C’est assez impressionnant, traumatisant […]

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Bobigny (93) : Prison ferme pour Aziz et Délice qui torturaient leur soeur depuis 3 ans

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Aziz et Délice ne sont que des ados. Et pourtant, les 2 frères comparaissent devant la 14e chambre du tribunal correctionnel de Bobigny pour avoir frappé leur sœur à coup de poings, de ceintures et de câbles électriques. A 18 et 20 ans, ils se tiennent droits comme des piquets, la mine fatiguée. Ils sortent de plus de 30 heures de garde à vue.

Au deuxième rang, Merahba, leur petite sœur de 17 ans, est assise aux côtés de sa mère. Il y a 3 jours, la jeune fille aux cheveux hirsutes et au sweat lépoard a porté plainte contre ses frères pour coups et blessures. Dans sa déposition elle racontait les brimades, les gifles, les coups de ceintures et de câbles électriques que ses frères lui infligeaient depuis 3 ans. […]

Depuis plusieurs mois, la famille S. est régentée par Aziz et Délice. « Votre sœur, vous l’avez esclavagisée », explose le procureur pendant son réquisitoire. Depuis que leur père a emménagé avec sa nouvelle femme et que leur mère s’est installée en Algérie, les 5 enfants S., Aziz, Délice, Merahba, Zahra, et Mustapha, habitent seuls dans un grand appartement de proche banlieue.

Ils survivent avec le salaire de Délice, l’aîné, étudiant en première année de droit et caissier à Auchan. Et les tâches ménagères, c’est plutôt le rayon de Mehraba. « Elle s’occupe des repas, du linge, des enfants » alors que les garçons « jouent aux jeux vidéo toute la nuit » explique le père dans sa déposition. Pour l’avocate de la défense, cette situation a poussé les deux frères à l’acte […]

Source

Merci à Bobbynette

Bobigny (93) : 20 ans de prison requis contre Fatiha Mokdad pour le meurtre de Dafina Pauvonic

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Dafina Paunovic est morte étranglée, après avoir été endormie avec de l’éther, et rouée de coups, en plus de s’être fait arracher des cheveux. Le subterfuge, consistant à faire disparaître des objets de valeur pour laisser penser à un cambriolage qui aurait mal tourné, n’a pas tenu. […]

Source

Merci à Yabonlaseku

Bobigny (93) : Le quotidien d’une juge d’application des peines

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Alice, une jeune juge, est arrivée au tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) depuis quelques mois seulement. A 29 ans, c’est son premier poste en tant que juge d’application des peines. Ce matin, elle recevra dans son bureau une dizaine de condamnés pour étudier les possibilités d’aménagement de leur peine. Chaque année, elle doit gérer près de 1.000 dossiers.

Cette jeune juge doit punir hors les murs et soumettre des condamnés à la liberté surveillée. « En travaillant avec les personnes en milieu libre et en travaillant sur les facteurs de récidives, leur situation sociale, leur situation personnelle, leurs addictions, on améliore les chances qu’ils ne re-commettent pas d’infractions« , assure-t-elle, convaincue. Pour elle la justice n’est pas trop laxiste : « Je pense que les personnes ne se limitent par à leurs actes« , affirme-t-elle.

Bobigny (93) : Perquisition dans le cadre de l’enquête sur les attentats

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Une perquisition a été menée à Bobigny en Seine-Saint-Denis, tard dimanche soir, dans l’enquête sur les attentats de vendredi à Paris, a-t-on appris de sources proches de l’enquête. Les résultats et l’objet de cette perquisition n’ont pas été communiqués. Les policiers ont également interrogé des riverains.

>Europe 1

Attentats à Paris : deux suspects s’enfuient d’un hôtel avant l’arrivée de la police à Bobigny

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Un hôtel de Bobigny a été évacué en début de matinée et deux suspects ont fui les lieux avant l’arrivée de la police, selon « Le Parisien ».

La traque aux terroristes présumés se poursuit. Les choses se sont accélérées depuis ce mercredi 18 novembre et l’opération contre une cellule terroriste menée à Saint-Denis par les forces de police. À Bobigny, toujours en Seine-Saint-Denis, un hôtel aurait été évacué ce matin, à en croire une information du Parisien. Deux suspects auraient fui les lieux peu avant l’arrivée des policiers et 189 personnes ont été sorties des chambres pour permettre l’intervention des démineurs. « Je prenais ma douche quand les alarmes à incendie se sont déclenchées », a raconté un témoin au quotidien.

La même chaîne d’hôtel utilisée deux fois

« Je suis sorti de la chambre et j’ai vu des policiers armés, qui m’ont dit : ‘Il faut sortir, tout de suite !’ J’ai juste eu le temps de mettre des vêtements. J’étais complètement paniqué », a-t-il confié. L’hôtel fait partie de la même chaîne que celle où avaient été réservées deux chambres à Alfortville (Val-de-Marne) la veille des attentats et payées avec la carte bancaire de Salah Abdeslam.

(…) RTL

Un soutien du délinquant Amine Bentounsi : « Si un braqueur est en danger, je lui conseille de tirer sur les flics »

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15/01/2016

Un policier de 36 ans, jugé pour avoir tué d’une balle dans le dos un malfaiteur armé, a été acquitté vendredi par la cour d’assises de Seine-Saint-Denis sous les hurlements de manifestants qui ont crié: « pas de justice, pas de paix ».

Source


11/01/2016


____________________________

C’est un procès sensible qui s’ouvre ce lundi devant la cour d’assises de Bobigny. Alors que la question de la légitime défense s’invite à nouveau dans le débat politique, un policier de 36 ans est jugé pour avoir tué, en 2012, un homme en fuite et armé.

[…] C’était le 21 avril 2012, à Noisy-le-Sec, une ville de 40 000 habitants au nord de Paris. En soirée, un appel anonyme prévient la police qu’un prisonnier en cavale se trouve un bar du centre-ville. Condamné pour braquage en 2007 à dix ans de prison, Amine Bentounsi s’était fait la belle en 2010 du centre de détention de Châteaudun (Eure-et-Loir) après une permission de sortie.

Quatre policiers locaux arrivent les premiers, le suspect s’enfuit à toutes jambes, ils le coursent. Le fuyard jette sur eux une grenade. Elle est factice mais ils ne le découvrent qu’après. Le gardien de la paix Damien Saboundjian, dix ans de police, fait le tour du pâté de maison en voiture par le haut et tombe sur l’homme en fuite et armé, près d’un carrefour bordé d’immeubles et de pavillons. Les deux hommes sont à une quinzaine de mètres. Echange de regards, le fuyard chute, diront des témoins, se relève… Finalement, le policier ouvre le feu et tire quatre fois après avoir été braqué, dit-il. En face, Amine Bentounsi n’a pas tiré. Touché d’une balle dans le dos, il meurt dans la soirée.

Le Parisien

Le 12 avril 2012, le gardien de la paix Damien Saboundjian, né en 1979, a tué Amine Bentounsi, 30 ans, d’une balle dans le dos. Il est poursuivi devant les assises de Seine-Saint-Denis pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner», peine passible, pour une personne dépositaire de l’autorité publique, de 20 ans de réclusion criminelle. […]

Les faits d’avril 2012 se sont produits en début de soirée. Un appel anonyme au «17» révèle qu’Amine Bentounsi, maintes fois condamné pour des petits trafic de stupéfiants, des vols avec armes et des violences, détenu en cavale, se trouve devant un bar de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). […]

Le Figaro


A 13 ans, il était le plus jeune incarcéré de France, après avoir multiplié des vols avec violence. Sa courte vie n’aura été qu’une succession d’allers-retours en prison. En septembre 1994, notre édition Seine-et-Marne du « Parisien » titrait « La terreur du quartier n’a que 12 ans ». Il avait alors déjà cambriolé les locaux de l’Opac — l’office HLM —, volé des voitures, agressé deux employées d’un centre social, battu une voisine avec un cric pour lui voler son magnétoscope. […]

Une enseignante du quartier se rappelle qu’Amine avait été renvoyé en Algérie, chez sa grand-mère, pour calmer sa dérive : « Il était revenu après avoir brûlé sa maison, ses parents n’ont jamais pu le remettre sur le droit chemin. » […]

Le Parisien

Son casier judiciaire portait mention de onze condamnations, notamment criminelles pour des faits de vols avec arme.

Il a été incarcéré dès l’âge de 13 ans pour un incendie criminel de bien public perpétré à Meaux, a-t-on appris de sources policières. C’est l’âge minimum pour être emprisonné. Il a été de nouveau incarcéré à 16 ans, en 1998, après un vol avec violences.

L’Express

Bobigny (93) : Des armes de guerre retrouvées lundi dans un véhicule volé

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Des armes de guerre ont été retrouvées lundi à Bobigny (Seine-Saint-Denis) dans un véhicule volé selon les informations recueillies par France Info. Les policiers ont mis la main sur trois fusils d’assaut, un pistolet automatique, des munitions et des faux brassards de police dans cette voiture volée l’an dernier en région parisienne. A ce stade, les soupçons des enquêteurs ne se portent pas sur le terrorisme mais plutôt vers une affaire de banditisme. La juridiction interrégionale spécialisée de Paris (JIRS) est saisie de l’affaire.

(…) France Info


Violences entre élus à Bobigny (93) : le maire adjoint UDI condamné à un stage de citoyenneté

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Le premier adjoint de la mairie UDI de Bobigny (Seine-Saint-Denis) et son bras droit ont été condamnés jeudi à un stage de citoyenneté pour des « violences en réunion » exercées sur une autre élue de la ville.

Absents lors du délibéré au tribunal correctionnel de Bobigny, Christian Bartholmé, 61 ans, et son collaborateur Kianoush Moghadam, 33 ans, devront également verser 10.000 euros d’indemnisation à leur victime, pour cette affaire qui agite l’ancien bastion communiste depuis la victoire surprise d’une alliance entre les centristes et des habitants des quartiers.
Le 8 juillet 2014 au soir, quatre mois après l’arrivée de la nouvelle équipe municipale, ces deux proches du numéro un de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, avaient convoqué Sabrina Saïdi, alors maire adjointe chargée de la petite enfance. Ils l’accusaient d’avoir rédigé et distribué dans les boîtes aux lettres d’une cité de la commune un tract mettant en cause une cadre municipale, Lynda Benakouche.
Le tract, anonyme, reprochait à la nouvelle municipalité l’embauche de Mme Benakouche, condamnée pour l’agression d’une femme enceinte et mariée à un membre du « gang des barbares » impliqué dans l’assassinat d’Ilan Halimi.

(…) Le Point

(Merci à chandid)


A relire :

Clientélisme : L’intriguante réserve parlementaire de l’UDI Jean-Christophe Lagarde

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Des fonds issus de la réserve parlementaire du président de l’UDI ont été illégalement détournés en 2014, année de la victoire des centristes à Bobigny.

La réserve parlementaire du député de Seine-Saint-Denis et président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, a-t-elle servi à financer la campagne des centristes aux municipales de Bobigny ? Entre 2012 et 2014, Lagarde a attribué plus de 130 000 euros de subventions à des associations tenues par plusieurs des principaux animateurs de la victoire de Stéphane de Paoli, le candidat UDI, élu maire de la ville en 2014.

Parmi les bénéficiaires de ces aides, Alliance, l’association d’un certain Kianoush Moghadam, qui travaillait alors comme attaché parlementaire pour Jean-Christophe Lagarde, s’est vu octroyer un total de 10 000 euros de subventions.

Khadija Gibier, fervente militante de l’UDI aux municipales de 2014 et surtout candidate du parti de Jean-Christophe Lagarde dans le canton de Bobigny aux départementales de 2015, a touché une enveloppe de 50 000 euros en 2012 pour son association Gela. Contactée par Le Point, elle explique que les fonds lui ont servi à « acheter du mobilier » pour sa structure qui propose des cours de langue arabe aux jeunes Balbyniens.

En 2013, Phoenix, une association présidée par Ramdan Ould-Ahmed, un autre animateur de la campagne de l’UDI, a eu droit à 8 000 euros. Mamadou Niakaté, l’actuel chef de cabinet de Stéphane de Paoli à la mairie, a perçu 10 000 euros de crédits parlementaires en 2014 pour son club l’Académie Football Bobigny.

Le Point

UDI : l’intrigante réserve parlementaire de Jean-Christophe Lagarde

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La réserve parlementaire du député de Seine-Saint-Denis et président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, a-t-elle servi à financer la campagne des centristes aux municipales de Bobigny ? Entre 2012 et 2014, Lagarde a attribué plus de 130 000 euros de subventions à des associations tenues par plusieurs des principaux animateurs de la victoire de Stéphane de Paoli, le candidat UDI, élu maire de la ville en 2014.

Parmi les bénéficiaires de ces aides, Alliance, l’association d’un certain c, qui travaillait alors comme attaché parlementaire pour Jean-Christophe Lagarde, s’est vu octroyer un total de 10 000 euros de subventions. Or, d’après nos informations, seule la moitié de la somme est bien arrivée sur le compte en banque de ladite association. Les 5 000 euros manquants ont été illégalement reversés sur le compte de Sami E., un militant recruté par Moghadam pour la campagne de l’UDI aux municipales de Bobigny. « Si de l’argent a été détourné, c’est à l’insu de monsieur Lagarde, qui engagera des poursuites si cela est avéré », précise une de ses collaboratrices, qui a tenu à garder l’anonymat. Joints par téléphone, Kianoush Moghadam, aujourd’hui cadre à la mairie de Bobigny et toujours vice-président d’Alliance, ainsi que Stéphane D., président de l’association, n’ont pas donné suite à nos demandes. (…)

Khadija Gibier, fervente militante de l’UDI aux municipales de 2014 et surtout candidate du parti de Jean-Christophe Lagarde dans le canton de Bobigny aux départementales de 2015, a touché une enveloppe de 50 000 euros en 2012 pour son association Gela. Contactée par Le Point, elle explique que les fonds lui ont servi à « acheter du mobilier » pour sa structure qui propose des cours de langue arabe aux jeunes Balbyniens. 

En 2013, Phoenix, une association présidée par Ramdan Ould-Ahmed, un autre animateur de la campagne de l’UDI, a eu droit à 8 000 euros. Mamadou Niakaté, l’actuel chef de cabinet de Stéphane de Paoli à la mairie, a perçu 10 000 euros de crédits parlementaires en 2014 pour son club l’Académie Football Bobigny. Parmi les autres bénéficiaires de la réserve parlementaire de Jean-Christophe Lagarde figure également Crescendo, une association d’aide aux devoirs, qui a perçu 8 000 euros de subventions et dont la présidente, Lynda Benakouche, est au cœur d’une affaire révélée par le journal Marianne , qui a entaché l’arrivée à la mairie de la nouvelle majorité municipale. (…)
 

Source

Merci à Dura Lex

Bobigny (93) : Le tribunal manque de moyens

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Deuxième tribunal de France, le tribunal de grande instance de Bobigny (Seine-Saint-Denis) est l’un des plus touchés par le manque d’effectifs. Depuis janvier, une audience sur cinq est annulée. Les délais des procédures s’allongent. Pour les magistrats et les personnes jugées, ces conditions de travail ne sont plus tenables.

Bobigny (93) : 13 jeunes jugés pour un viol collectif dans une cage d’escalier

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Ils avaient tendu un « piège » à une jeune fille de 16 ans en l’attirant dans une cage d’escalier avant de la violer à tour de rôle: 13 jeunes de 19 à 22 ans seront jugés à partir de mercredi par la cour d’assises des mineurs de Seine-Saint-Denis. […]

[…] Violée une première fois, elle est ensuite conduite dans une cage d’escalier d’un autre bâtiment de cette cité sensible où une dizaine de jeunes attendent leur tour pour la forcer à pratiquer une fellation ou à se soumettre à un rapport sexuel.

[…] Sur les 16 mis en examen, deux qui avaient moins de 16 ans au moment des faits ont été condamnés en juillet à six ans de prison (dont deux et quatre ans de sursis) par le tribunal pour enfants de Bobigny. Un autre sera jugé séparément pour avoir menacé la jeune fille sur Twitter de lui « crever les yeux » si elle ne retirait pas sa plainte.

Quant aux 13 restants, onze seront jugés pour « viol en réunion » et deux pour « complicité » lors de ce procès qui doit durer jusqu’au 8 avril. Neuf d’entre eux sont en détention provisoire.

France 4

Bobigny (93) : la gratuité de la cantine scolaire tourne au cauchemar

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C’est l’heure du sauté de veau et de la printanière de légumes. Mais aussi et surtout des cris des gamins déchaînés qui s’installent dans le réfectoire de l’école élémentaire Paul-Eluard, à Bobigny.

«C’est comme ça tous les jours et ce n’est pas agréable, ni pour nous ni pour les enfants», reconnaît l’une des employées de la cantine, questionnée par une dizaine de parents d’élèves agacés par la mauvaise gestion de la pause de midi dans l’école. Avec la mise en place de la cantine gratuite dans les écoles élémentaires de la ville en janvier 2015, 72% des enfants mangent à l’école, contre 55% avant. […]

Malgré les lourds travaux d’agrandissement du réfectoire tout neuf et l’installation de sols et de plafonds antibruit, les parents d’élèves ne sont pas satisfaits et dénoncent une «promesse de campagne mise en place à la va-vite». Le principal grief : les neuf animateurs embauchés par la ville pour surveiller les enfants pendant la pause méridienne ne sont pas tous formés et n’ont aucun responsable pour les aiguiller. Et les absences, régulières, ne sont jamais remplacées. […]

A la sortie de la cantine, à l’heure exacte de la sonnerie, pas le temps de digérer pour les écoliers. Il faut déjà reprendre les cours. «Les enseignants n’en peuvent plus, assure une maman. Car les enfants sont nettement plus énervés et violents qu’avant. Ils nous conseillent de ne pas mettre nos enfants à la cantine…» Contactée, la municipalité n’a pas répondu à nos questions.

Le Parisien

Bobigny (93) : Mamadou Niakaté, le chef de cabinet du maire, reçoit un coup de couteau à la gorge

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Le chef de cabinet du maire de Bobigny, Mamadou Niakaté, par ailleurs responsable d’un club de foot local, a été agressé près de la mairie de Bobigny, ce mercredi soir, au couteau. Vers 19 heures, il a été accosté par un homme qui l’a frappé au niveau de la gorge.

Avant de prendre la fuite, l’agresseur aurait invoqué une «histoire d’ascenseur en panne» indiquent plusieurs sources sans plus de précision. La blessure serait superficielle puisque vers 22 h 45, un proche du blessé l’annonçait sur le point de quitter l’hôpital, pour rejoindre le commissariat afin de déposer plainte. Il a subi 15 points de suture. L’agresseur est recherché par la police.

Le Parisien

Merci à Stormisbrewing


Bobigny (93) : Suspension des cours au collège République… avant explosion

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Les personnels du collège République de Bobigny (Seine-Saint-Denis) ont fait valoir, lundi 11 avril, leur « droit de retrait ». Un mouvement reconduit jusqu’au début des vacances, vendredi 15.

C’est parce qu’ils ne se sentaient plus en sécurité dans leur établissement – et « pas parce qu’ils ont peur de leurs élèves », tiennent-ils immédiatement à préciser.

D’où vient cette violence ? « C’est d’abord une violence d’Etat qui investit moins pour nos élèves que pour leurs petits camarades parisiens… et les jeunes le savent bien », s’indigne Jules Siran, enseignant d’histoire-géographie.

Les 720 élèves ont été priés de rentrer chez eux ; le chef d’établissement revendique, lui, de rester silencieux. Alors les professeurs ont pris la parole – votant en assemblée générale la médiatisation des tensions qu’ils vivent au quotidien, explique Jules Siran, enseignant d’histoire-géographie. Et ce même s’ils sont bien conscients des «risques de stigmatiser un peu plus un territoire, le ’9-3′, qui a davantage besoin de sérénité et de moyens que de caméras de télévision», ajoute ce syndicaliste de Sud Education. […]

«Jets d’asticots en classe, de boules puantes, de fumigènes, de pétards… Départ de feu, jeux avec briquets, crachats sur des adultes, bagarres constantes, violences verbales et physiques, dégradation du matériel… » La liste à la Prévert qu’ils ont imprimée sur une feuille A4 n’a rien de poétique. Mais elle leur permettra, espèrent-ils, d’expliquer le mouvement aux parents invités à les rencontrer à la veille des vacances. […]

Le déclic collectif a eu lieu après un incident, mardi 5 avril, que les professeurs ne veulent pas qualifier d’agression. «Ce sera au conseil de discipline réuni après les vacances de trancher», fait valoir Yvain Jones, professeur de physique-chimie. «Ce mardi-là, faute de classe disponible mais surtout faute de surveillants en nombre suffisant, on a transformé le réfectoire en permanence pour y réunir 200 élèves, raconte Guillaume Lamouroux, enseignant de SVT. A un moment, un assistant d’éducation a senti un coup de chaud sur la nuque. Quand il s’est retourné, il avait face à lui un élève avec un lance-flammes artisanal bricolé à partir d’une bombe de déodorant et d’un briquet. » […]

Le Monde

Bobigny (93) : Sékou, Kodjo et Malamine jugés pour l’assassinat de Mamadou

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Le 9 août 2013, Mamadou Sacko, 20 ans, était abattu à la cité des Pommiers, à Pantin, d’une décharge de chevrotine tirée à bout portant, en pleine tête. Ses assassins présumés, les frères Timéra, Harouna, 29 ans et Malamine, 25 ans, tous deux sans emploi et déjà connus de la justice, comparaissent à partir de lundi et jusqu’à vendredi devant la cour d’assises de Bobigny pour assassinat.

[…] Mais en juin 2011, Sékou Timéra* est tué rue Jules-Auffret, tout près de la cité des Pommiers par Kodjo Ben Hodor, surnommé par la presse le « tueur aux mocassins » (il a été condamné à 20 ans de réclusion en 2014). A la mort de Sékou, son frère, Malamine Timéra, reprend le trafic. Il reste associé avec Mamadou Sacko.

Très vite, les relations se tendent entre les deux hommes. Elles ne font que s’envenimer quand Mamadou Sacko est incarcéré en 2012. Depuis la prison, Mamadou ne cesse de répéter qu’il a été floué par Malamine. Et il a bien l’intention de reprendre le terrain en main dès sa sortie de prison. Il n’en aura pas le temps.

Le Parisien

Merci à Yabonlaseku

Bobigny (93) : En plein procès, un détenu s’échappe du box et prend un homme en otage

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Jugé pour une affaire de stupéfiants, un détenu a pris un homme en otage, mais il a été rapidement désarmé par les policiers présents sur place…

Le procès avait déjà commencé au tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis), jeudi après-midi. Les échanges touchaient même à leur fin, rapporte Le Parisien. C’est le moment choisi par le détenu, juste avant que le procureur ne prenne la parole, pour sauter par-dessus la vitre du box, se ruer dans la salle et prendre un homme en otage.
Armé d’un couteau en plastique
L’homme, jugé dans une affaire de stupéfiants, n’est cependant pas allé bien loin. Les policiers présents sur place ont rapidement maîtrisé l’individu et l’ont désarmé de son couteau artisanal. « Une sorte de couteau en plastique aiguisé monté sur un manche », précise une source judiciaire au Parisien.

(…) 20minutes.Fr

Seine Saint-Denis (93) : 260 ados sont médiateurs dans leurs collèges

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Dans la cour de récré ou même dans la classe, un regard maladroit ou simplement mal interprété… et tout peut dégénérer en dispute ou en insulte. Et pour éviter, précisément, que les malentendus ne se transforment en règlements de comptes ou en conseil de discipline, de jeunes collégiens sont formés pour intervenir eux-mêmes auprès de leurs camarades afin de calmer le jeu.

Ce dispositif de médiation a été mis en place dans le département il y a six ans. « Sur 125 collèges, nous avons aujourd’hui pas moins de 260 médiateurs volontaires. Nous avons encore beaucoup à faire, notamment déployer le dispositif de façon plus équitable dans l’ensemble des établissements. Mais tel qu’il existe, c’est déjà une petite réussite », se félicite Hervé Sabille, le directeur académique adjoint qui participait, ce vendredi matin à la Bourse du travail de Bobigny, à la réunion annuelle d’information auprès des collégiens médiateurs, laquelle permet d’établir le bilan de l’année écoulée et d’envisager la suivante avec une thématique particulière. A la rentrée prochaine, ce sera la différence.

Dans la grande salle, ce vendredi, les adolescents, qui vont ensuite plancher toute la journée sur la question, aidés également par des psychologues, s’installent. « Moi, je trouve important de s’investir pour l’ensemble de ses camarades », commente Awa, en 5e, à Noisy-le-Grand (lire les témoignages ci-dessous) […]

Le Parisien

Merci à cathyB

Bobigny (93) : A la cité de l’Étoile, le foot sinon «rien»

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Près du Stade de France mais très loin de l’Euro-2016 et des polémiques sur l’équipe de France, l’Étoile de Bobigny n’a pas vocation à former des champions, seulement des « citoyens ». Dans ce quartier où il n’y a « rien », le foot fait figure de rempart contre le décrochage scolaire, la délinquance voire la radicalisation.

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